Saturday, February 26, 2011

-LE MONDE ARABO MUSULMAN A LA CROISEE DES CHEMINS-



Etonnant article de La Ligue des Droits de l'Homme de Toulon, particulièrement en ce moment.

Alors que les peuples arabo-musulmans s'agitent, s'insurgent, se révoltent, le monde entier, nous tous, nous les regardons, les observons, ne sachant pas ce qu'il va advenir de ces velleités populaires.
Il faut dire qu'avant ça, ce qu'ils nous ont donné à voir jusqu'alors, c'étaient des foules grouillantes et menaçantes, dévalant les rues, hurlant et vociférant, dès que quelqu'un, en Europe, a fait mine d'ironiser sur le Coran ou sur Mahomet. On ne les a guère vu manifester calmement, dignement, pour s'élever contre les massacres qui ont été commis tout au long de ces dernières années, au nom de l'islam.

Et donc, l'on peut se demander quels choix vont-ils faire, vers quel destin, vers quel modèle vont-ils basculer :

 
* celui de l'homme primitif - "furieux" irrécupérable, celui qui sans vergogne ne craindra pas de sortir un couteau pour tout argument, de traiter la femme comme un être inférieur ou un animal, de considérer les autres religions comme broutille, qui à l'extrême se fera "sauter" dans un bus parmi femmes et enfants, ou se dirigera tout droit dans un autre World Trade Center ?

* ou l'occidental évolué : celui avec qui il sera agréable de dialoguer, d'échanger, de se lier d'amitié, dans le respect de l'autre, de la liberté de chacun, sans craindre une réaction caricaturalement épidermique de susceptibilité et d'"humiliation" ?

Sauront-t-ils devenir AIMABLES ? Au sens premier du terme : "dignes d'être aimés" ?

Ci-dessous l'article dans son entier mais vous pouvez le retrouver sur le site de la LDH Toulon.



le regard colonial de l’École psychiatrique d’Alger
article de la rubrique les deux rives de la Méditerranée
les « populations » de l’Algérie coloniale
date de publication : jeudi 24 février 2005


Pendant un demi-siècle, les psychiatres de l’École d’Alger ont placé "l’indigène nord-africain" à mi-chemin entre l’homme primitif et l’occidental évolué. Leur thèse était que l’indigène, étant dépourvu de lobe préfrontal, est dépourvu de morale, d’intelligence abstraite et de personnalité.

Les schémas véhiculés dans le discours psychiatrique de cette époque ne continuent-ils pas à modeler notre rapport aux Algériens et originaires d’Algérie ?

Le premier congrès de la Société Franco-Algérienne de Psychiatrie s’est déroulé à Paris en octobre 2003 [1]. L’un des ateliers, organisé par le Professeur Marie-Rose Moro (hôpital Avicenne, AP-HP), avait pour intitulé La psychiatrie coloniale en Algérie. En voici la présentation :


L’histoire de la psychiatrie en Algérie est marquée par le passage des psychiatres coloniaux qui font école autour du professeur Antoine Porot (1876-1965), développant la théorie du primitivisme. Généralisant à partir d’a-priori sur le "fatalisme", le "puérilisme mental", l’absence d’"appétit scientifique", l’"immodération", la "suggestibilité", la soumission aux "instincts" de ce "bloc informe de primitifs profondément ignorant et crédules pour la plupart" (Porot, 1918) qu’étaient censés être les "indigènes nord-africains", une théorie est ainsi élaborée sur le fonctionnement de ce peuple colonisé. Cette théorie, non seulement ne prend pas en compte le fait colonial avec toutes ses implications dans les rapports entre colonisés et colonisateurs, mais surtout vient justifier l’ordre colonial, c’est à dire la domination d’un peuple par un autre, par la "preuve scientifique" d’une supériorité d’un peuple sur un autre. Il y a le constat d’une différence, mais qui mène à des interprétations basées sur une vision méprisante de l’autre ; la psychiatrie se met au service du pouvoir colonial.

Parallèlement, les institutions de soins psychiatriques sont mises en place sur un modèle défendu par le professeur Antoine Porot, permettant de mettre fin au transfert de malades dans les asiles de la métropole. Ainsi, en 1938 est inauguré le premier hôpital psychiatrique à Blida-Joinville. C’est dans cet établissement que Frantz Fanon, psychiatre français originaire de la Martinique, viendra exercer en tant que chef de service et deviendra un violent opposant de cette "école d’Alger", laissant son nom à l’hôpital et la possibilité d’un autre discours.

Chez les psychiatres français, cette histoire est méconnue, voire inconnue, mais les schémas véhiculés dans le discours psychiatrique de cette époque ne continuent-ils pas à modeler notre rapport aux Algériens et originaires d’Algérie ?


Antoine Porot et l’École d’Alger

En 1912, le Congrès des Aliénistes et Neurologistes de France s’est tenu à Tunis. Consacré à l’assistance aux aliénés des colonies, ce congrès peut être considéré comme fondateur d’une psychiatrie coloniale ; il recommande notamment la nécessité de formation de psychiatres coloniaux civils et militaires, ainsi que l’arrêt du transport des aliénés des colonies dans les asiles français (comme c’était le cas jusqu’alors).

L’École d’Alger se consacra à l’étude de la "mentalité indigène" pour en comprendre la pathologie et promouvoir une action efficace et rapide. Antoine Porot fut le fondateur et chef de file de l’École algéroise de psychiatrie ; il formera une génération de psychiatres.

En 1918, il publie ses Notes de psychiatrie Musulmane [2]. La thèse, très simple, peut se résumer ainsi : « Hâbleur, menteur, voleur et fainéant le nord-africain musulman se définit comme un débile hystérique, sujet de surcroît, à des impulsions homicides imprévisibles. » Pour Porot, le Maghrébin est incapable d’assumer des activités supérieures de nature morale et intellectuelle.

À partir des années 30, dépassant le stade descriptif, l’École d’Alger fournit une base scientifique à ses conceptions.

En 1932, Porot défend la thèse de « l’impulsivité criminelle chez les Algériens » [3]. « L’indigène nord-africain, dont le cortex cérébal est peu évolué, est un être primitif dont la vie essentiellement végétative et instinctive est surtout réglée par le diencéphale » [4]. « L’Algérien n’a pas de cortex, ou, pour être plus précis, il est dominé, comme chez les vertébrés inférieurs, par l’activité du diencéphale » [5].

L’indigène maghrébin est situé à mi-chemin entre l’homme primitif et l’occidental évolué. Après avoir introduit le concept de "primitivisme", les auteurs tentent de lui donner une assise neurologique : il s’expliquerait par une disposition particulière de l’architectonie du cerveau avec prédominance des fonctions diencéphaliques. La mentalité nord-africaine serait donc structurellement différente de la mentalité européenne.

Ces conceptions rejoignent les thèses de l’historiographie coloniale pour qui l’Algérien, plus généralement le Maghrébin, représente « parmi les races blanches méditerranéennes [...] le traînard resté loin en arrière » [6] et fait partie « des races condamnées à s’éteindre » [7].

Frantz Fanon


Il faut souligner l’absence dans les travaux de l’École d’Alger de la moindre référence au milieu socio-culturel. Ce qui permettait de passer sous silence les profonds bouleversements que la conquête coloniale a entraînés dans la société algérienne, et de justifier a posteriori la colonisation.

En 1953, quand Frantz Fanon est nommé médecin-chef de l’hôpital psychiatrique de Blida, la doctrine régnante en psychopathologie est toujours le "primitivisme", analyse à fondement raciste constatant un prétendu "développement psychique primitif" de ceux qu’il était convenu d’appeler les "Français Musulmans" en Algérie.

Le jeune psychiatre martiniquais va bousculer ce discours pseudo-scientifique en mettant l’accent, au contraire, sur les effets produits dans les consciences par la situation coloniale et la dépersonnalisation qu’elle entraîne. Le racisme biologique a cédé la place, analyse-t-il, à un racisme culturel. Ce n’est plus la couleur de la peau ou la forme du nez qui sont stigmatisées, mais « une certaine forme d’exister ». Tout au long de son œuvre Fanon [8] va s’attacher à donner une autre image de l’homme colonisé, celle d’un homme infantilisé, opprimé, rejeté, déshumanisé, acculturé, aliéné ... Le projet délibéré des colons et des pouvoirs publics est, selon Fanon, de figer la société indigène dans des structures archaïques dont l’absence d’évolutivité serait le meilleur garant de la domination française.

Son engagement aux côtés des Algériens qui luttaient pour leur indépendance provoqua son expulsion vers la Tunisie où il poursuivit son activité médicale et politique. Il devait décéder des suites d’une leucémie en 1961, à l’âge de 36 ans.

En métropole ... [9]

Les thèses de l’École psychiatrique d’Alger se sont répandues des deux côtés de la Méditerranée. C’est ainsi que l’on peut lire les articles suivants dans la première édition (1952) du Manuel alphabétique de psychiatrie [10].

Noirs : « Les indigènes de l’Afrique noire se rapprochent dans une large mesure de la mentalité primitive. Chez eux les besoins physiques (nutrition, sexualité) prennent une place de tout premier plan ; la vivacité de leurs émotions et leur courte durée, l’indigence de leur activité intellectuelle, leur font vivre surtout le présent comme des enfants ».

L’auteur de ces articles, lui-même élève de Porot, Henri Aubin, évoque leur « comportement explosif et chaotique », les « fragiles liens logiques » de leur idéation, le faible travail du « psychisme supérieur »...

Indigènes Nord-Africains : « [...] Par manque de curiosité intellectuelle, la crédulité et la suggestibilité atteignent un degré très élevé [...]. » Après avoir souligné leur potentiel meurtrier, Aubin ajoute « Le même fatalisme aggrave l’inappétence native des non-civilisés pour le travail, leur aboulie, leurs caprices, leur impulsivité », soulignant là encore « le manque de soin et de logique dans les activités professionnelles, la tendance au mensonge, à l’insolence [...]. »

Le Primitivisme est rapporté aux « peuplades inférieures », s’opposant à la « mentalité civilisée ». On lit encore sous la plume d’Aubin « la mentalité du primitif est surtout le reflet de son diencéphale alors que la civilisation se mesure à l’affranchissement de ce domaine et à l’utilisation croissante du cerveau antérieur. »

Dans la quatrième édition, remaniée, du Manuel alphabétique de psychiatrie, parue en 1969, les articles précédents sont encore inchangés [11]. A quelle date ont-ils été définitivement réécrits, nous l’ignorons.


Notes

[1] Le premier congrès de la SFAP s’est déroulé le 3 et 4 octobre 2003 à l’Hôpital Européen Georges Pompidou à Paris. Cette rencontre présidée par les professeurs Henri Loo, Farid Kacha et Frédéric Rouillon, a été organisée avec les communautés médicales algérienne et française autour du problème des états post-traumatiques liés à la guerre d’Algérie et des phénomènes complexes de la mémoire post-traumatique.

[2] Antoine Porot - Notes de psychiatrie musulmane - Annales medico-psychologiques, 1918, 74, 377-384.

[3] Antoine Porot et C. Arrii - L’impulsivité criminelle chez l’indigène algérien ; ses facteurs - Annales médico-psychologiques, 1932, 90 : 588-611.

[4] Intervention au congrès des aliénistes et neurologistes de langue française - Bruxelles, 1935.

[5] Antoine Porot et Jean Sutter - Le primitivisme des indigènes nord-africains ; ses incidences en pathologie mentale - Sud médical et chirurgical, 15 avril 1939.

[6] Emile-Félix Gautier, Les siècles obscurs du Maghreb, éd. Payot 1937 - cité dans D’une rive à l’autre, de Gilles Manceron et Hassan Remaoun, éd Syros, 1993, page 45.

[7] Gustave Mercier, Histoire de l’établissement installation des Arabes dans l’Afrique septentrionale, Paris, 1875.

[8] À propos de Frantz Fanon, lire la page qui lui est consacrée sur ce site.

[9] Ce paragraphe est extrait de l’ouvrage Petits moments d’histoire de la psychiatrie en France, de Patrick Clervoy et Maurice Corcos, éd. EDK, Paris 2005.

Nous remercions le docteur Patrick Clervoy, chef du service de psychiatrie de l’Hôpital d’Instruction des Armées Sainte-Anne de Toulon, de nous avoir permis de le reproduire.

[10] Manuel alphabétique de psychiatrie, sous la direction d’Antoine Porot, Paris P.U.F. 1952.

Indigènes Nord-Africains, Primitivisme, Noirs (Psychopathologie des), articles rédigés par Henri Aubin.

[11] Voir http://patrick.fermi.free.fr/esquis....



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Saturday, February 19, 2011

-REVOLUTIONS DANS LE MONDE ARABE : ET APRES ?-


Un vent de chaos s'est mis à souffler et a réveillé comme par magie des populations qu'on a coutume de qualifier de fatalistes et mues uniquement par l'islam ...

Bon ! Les temps changent semble-t-il, peut-être un peu façonnés, travaillés par quelques courants, faiseurs d'évènements. Seul l'avenir nous dira à qui ça profite ... et nous aurons alors les initiateurs des opérations.
En même temps, la seule chose vraiment importante, dans le fatras d'analyses, de suppositions, de supputations, et d'incantations sur de potentielles démocraties émergeant bien sûr, par génération spontanée, de ce terreau si fertile et "libertaire" qu'est l'islam, la seule chose importante sera d'établir à travers quelle grille d'analyses on appréciera réellement le devenir de ce monde arabo musulman.


Et en particulier :


- Où en sont les droits de l'homme, de l'être humain : la Liberté individuelle, la liberté d'expression, de possession, de circulation, l'égalité de traitement, le droit à l'éducation, au travail, la sécurité ... ?


- Quelles sont les relations de ces pays avec les Etats-Unis "le grand Satan" encore symboliquement le plus grand pays de libertés qui soit ?


- Quelles sont les relations de ces pays avec Israël ? Ce point à lui tout seul sera significatif d'une réelle mutation !


- Quelle place sera faite à la liberté des femmes ? Crucial et me semble-t-il totalement improbable. Le pouvoir du mâle quasiment absolu sur la femme, je doute que les hommes de ces pays soient prêts à en céder une once. De très loin, c'est la liberté de la femme et sa reconnaissance d'être humain à part entière qui vont être l'élément le plus difficile à céder pour ces potentats domestiques absolus. Avant même Israël, ce point sera sans nul doute, le moins probable à moins d'un changement quasiment magique de la mentalité musulmane.


- Quelle place sera faite à la liberté des minorités religieuses autres que l'islam ? A voir déjà quelques accrocs notables de ce côté, j'ai déjà quelques doutes ...


Ces différents points à eux seuls constitueront les meilleur des signaux que les révolutions en terre d'islam ont réellement débouché sur une ère de Liberté. Sinon, elles ne constitueront qu'une poudre aux yeux supplémentaire, visant à cacher d'autres desseins.


L'avenir seul nous le dira !




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REVOLUTIONS IN THE ARAB WORLD : WHAT NEXT ?


A wind of chaos has started to blow and has awoken -almost magically - peoples that are usually referred to as fatalistic and moved only by islam...
All right! Times are changing, at least it seems so, even if a bit engineered or directed by some event- generating streams. Only time will tell who profits from it...and then we'll really know WHO initiated the events.
But in the meantime, the only important thing amidst the bulk of analysis, assumptions, hypotheses and incantations concerning the potential democraties that will emerge, by spontaneous generation of course, from the ever fertile and "libertarian" islamic soil, the only important thing I said will be to decide through which reading frame we will really estimate the fate of the muslim arabic world.


And, particularly:


- What about human rights, the rights of the human being : individual liberty, freedom of expression, of property, of circulation, equal treatment, the right to education, to work, to security ... ?


- What are the relationships of these countries with the United States, the "Big Satan", still symbolically the most free country in the world ?


- What are the relations of these countreies with Israel ? This matter alone will be significant of a real mutation!


- What freedom will women enjoy ? This is crucial and, it seems to me, very unlikely. Near total power of the male over the female, I doubt that the men of these countries are willing to give up one inch of it. More than anything else, it's the freedom of women and their recognition as a human being as a whole that will be the most difficult to concede for these absolute domestic potentates. Even before Israel, this matter will be without doubt the most unlikely, unless a near magical change of the muslim mentality.


- What room will be given to religious minorities other than islam ? By judging from the noteworthy hitches on this particular point, I already have doubts.


Those different subjects alone will form the best of signals that the revolutions on islamic ground have really given birth to an era of Freedom. If not, they will be merely another screen of smoke, functioning to mask other goals.


Only time will tell !


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Thursday, February 17, 2011

-Mettre de la musique sur Blogger 2eme edition-

Beaucoup de personnes viennent encore consulter le post : "Mettre de la musique sur Blogger" 1ère version : ICI, qui est toujours et encore valable dans certains cas de figures.

Toutefois, personnellement je n'utilise plus cette façon de faire, un peu lourde : en effet, je fais héberger mes fichiers et mes images chez Archive Host, en particulier les fichiers mp3. Et cet hébergeur, ayant le fichier Dewplayer incorporé, cela simplifie grandement les choses.
Bien noter que Archive Host est gratuit. Ils ont aussi des offres payantes, mais pour les professionnels ou ceux qui veulent archiver des fichiers très lourds.


Donc la marche à suivre est TRES simple :
Dans Blogger, vous voulez insérer un fichier musique dans un article.
Allez vous inscrire dans Archive Host. 
Une fois choisi le fichier mp3 que vous voulez mettre dans cet article, mettez ce fichier par exemple sur le Bureau de Windows et allez dans votre compte Archive Host.


Dans Archive Host sur la page Accueil Panel, vous cliquez en bas sur : Ajout rapide de fichiers.
Cochez  Mes musiques
Puis cliquez sur Browse : allez chercher votre fichier mp3 sur le Bureau. Cliquez sur Open.
Et dans Archive Host cliquez sur Ajouter.
Le temps de téléchargement sera fonction de votre vitesse de connexion.

Vous avez alors le message   "Upload du fichier "untel" réussi".
Avec un petit cercle bleu à droite sur lequel cliquer et avoir accès aux différents "codes" de ce fichier.
Vous pouvez aussi retourner dans Accueil Panel et à gauche cliquer sur Mes musiques et vous avez accès à votre fichier : il suffit de cliquer sur le nom du fichier, quand le curseur devient une main, et vous arrivez à la page Information et codes.

Là, vous descendez sur la page à  Liens spécifiques à une musique mp3.
Je vous indique mes choix habituels, mais vous pourrez ensuite en faire d'autre.


Donc :      1) Lecteur Dewplayer.
Ensuite :  Nouvelle Version du Lecteur mp3
Et à :       Lecture non automatique, sélection et copie de tout le code qui se trouve dans le cadre à droite.

Puis dans votre article dans Blogger, côté HTML, placez le curseur à l'emplacement où vous voulez insérez le fichier musique.
Faites Ctrl-V, ou cliquez Droit et Paste (ou Coller). Et voilà.

En pré visualisant votre article vous voyez le petit lecteur Dew Player prêt à jouer votre air.

Vous pouvez bien sûr choisir un autre code parmi ceux proposés.
A vous de voir et de tester ce qui vous convient le mieux.

Amusez-vous bien !


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